La veille urbaine du 9 juillet 2020
GA Smart Building livre le premier bâtiment de Now Living Spaces à Toulouse
GA Smart Building vient de livrer le premier batiment du campus « Now Living Spaces ». Situé à Saint-Martin-du-Touch, à proximité de Toulouse et à 500 m de la future station Airbus Saint Martin de la 3e ligne de métro, « Now Living Spaces » est un ensemble immobilier de 16 000 m², composé de quatre bâtiments tertiaires. La première tranche composée d’un immeuble de près de 5 000 m², déjà prise à bail par le groupe Alten et vendue à Unofi, vient d’être livrée. Ce campus a été imaginé par Label Architecture et CDA. « Le campus a été conçu avec une forte approche biophilique tout en mettant le confort des usagers au centre de la réflexion », précise le communiqué de presse. « Now Living Spaces » vise la certification HQE niveau « Excellent » ainsi que les labels Ready to Osmoz et R2S. L’opération a également été retenue comme site pilote de la future certification 4 Grids permettant de qualifier la gestion énergétique d’un bâtiment. « Aujourd’hui, nous avons le plaisir de livrer un bâtiment pris à bail par Alten, et ce malgré les circonstances actuelles, conclut Kader Guettou, directeur général du pôle entreprise. Ceci est rendu possible grâce l’approche constructive hors-site qui fait la caractéristique de GA Smart Building. Dans cette opération, nous avons mis en oeuvre l’ensemble de nos procédés industriels. » À noter que la commercialisation et la transaction pour le premier bâtiment ont été assurées par BNP Paribas Real Estate.
Premier investissement dans le département du Nord pour Midi 2i
(©Paindavoine–Parmentier)
Midi 2i, société de gestion de fonds d’immeubles de bureaux et de commerces, a acquis en VEFA auprès de Ceetrus l’immeuble « Wellice » pour le compte de son fonds Midi Fonciere 4. Immeuble de bureaux situé dans la région Lilloise, à Villeneuve d’Ascq (59), Wellice sera construit sous maîtrise d’ouvrage de Ceetrus France. Les travaux de construction débuteront au mois de septembre pour une livraison prévue au 1er semestre 2022. Situé dans la zone commerciale d’Auchan V2, à proximité du métro, cet immeuble de bureaux développe une superficie de 6 169 m² répartie sur 5 étages et un roof top. Dessiné par le cabinet d’architecture lillois Paindavoine–Parmentier, ce bâtiment offre à chaque étage des terrasses et devrait proposer une luminosité naturelle augmentée grâce aux vitrages de très grande hauteur. Les enjeux environnementaux seront encadrés par la certification BREAM Very Good. « Il s’agit de notre première opération dans le département du Nord. Cet investissement démontre notre volonté de nous positionner sur le deuxième marché régional en immobilier d’entreprise tout en privilégiant des partenariats locaux pour nous accompagner dans notre développement », souligne Jean-Luc Barthet, directeur général de Midi 2i.
CDC Investissement Immobilier signe un immeuble de 92 logements à Asnières
CDC Investissement Immobilier a acquis en état futur d’achèvement, pour le compte de la Caisse des Dépôts, un immeuble de 92 logements à Asnières (92) auprès des promoteurs Cogedim et Coffim. La livraison est prévue au 1er trimestre 2023. L’immeuble, situé 8 rue Louis Armand, à proximité de la station de RER C « Les Grésillons » dans une nouvelle ZAC en cours de développement, développera une surface habitable de 5 354 m² pour 92 logements et 94 parkings, destinés à être loués dans le cadre de baux à loyer libre. L’immeuble s’élèvera en R+17. « CDC Investissement Immobilier a fait le choix de s’implanter dans ce quartier d’Asnières en redéveloppement, convaincu que son emplacement privilégié, en bordure de Seine et à proximité des transports, et que ce quartier plus vert, plus aéré et conçu pour les nouveaux modes de vie du XXIe siècle en feront une zone prisée, dans laquelle une forte création de valeur est anticipée », précise le communiqué de presse. L’immeuble est conçu pour être labélisé BiodiverCity et suivant la norme RT 2012 -20 %. Avec cette nouvelle opération, CDC Investissement Immobilier porte la valeur de son portefeuille résidentiel à plus d’1,7 Md€, représentant 25 % de l’ensemble des placements immobiliers détenus par la Caisse des Dépôts et gérés par sa filiale CDC Investissement Immobilier. Dans cette transaction, Cogedim et Coffim étaient accompagnés par l’étude C&C Notaires, et CDC Investissement Immobilier par l’étude Panhard et Associés.
Gazeley adopte la marque GLP en Europe
Nick Cook, président de GLP Europe (©D.R.)
Gazeley a adopté le nom de marque GLP suite à son acquisition en 2017. En outre, GLP a annoncé la finalisation de l’acquisition du portefeuille immobilier logistique du groupe Goodman en Europe centrale et de l’Est. GLP gère actuellement 7 Mds$ d'actifs au Royaume-Uni, en Allemagne, en France, en Espagne, en Italie, en Pologne et aux Pays-Bas. « Depuis son entrée sur le marché en 2017, GLP a stratégiquement étendu sa présence sur certains marchés européens pour répondre à la demande des investisseurs et soutenir sa stratégie de croissance paneuropéenne disciplinée, explique Nick Cook, président de GLP Europe. Nous pensons que l'attractivité macroéconomique, l'urbanisation, la croissance du e-commerce et la proximité des grands centres de distribution en Europe contribuent à dynamiser le marché de l'immobilier logistique en Europe centrale et de l’Est. » Initialement promoteur commercial détenu par Walmart, Gazeley a étendu sa présence à travers le Royaume-Uni et par la suite en Europe. Depuis que GLP l’a acquis en 2017 pour pénétrer le marché européen de l'immobilier logistique, l'entreprise européenne a doublé de taille en termes d'actifs sous gestion, de présence géographique et d’effectifs, renforçant dans le même temps ses équipes grâce à plusieurs recrutements. « L’adoption du nom GLP est une évolution naturelle pour l’entreprise, car nous souhaitons poursuivre cette expansion, ajoute Nick Cook. Le nom de GLP est synonyme d’immobilier logistique novateur et technologique. Ce changement reflète notre engagement à utiliser cette expertise combinée à notre connaissance du marché local pour améliorer notre offre en Europe. » Kirkland & Ellis a été le conseiller juridique de GLP lors de l'acquisition du portefeuille de Goodman en Europe centrale et de l’Est. Greenberg Traurig et Kinstellar ont fourni des conseils juridiques locaux. Cushman & Wakefield a servi de conseiller à GLP et Goldman Sachs et Citi ont financé l'acquisition.
Icade dépasse ses objectifs en faveur de la biodiversité positive
Icade a fait de la préservation de la biodiversité l’un de ses 5 enjeux RSE prioritaires. Elle s’est ainsi fixée, pour la période 2019-2022, des objectifs chiffrés ambitieux pour ses trois métiers en termes de réintégration de la nature en ville, de développement de la biodiversité positive et de restauration des écosystèmes les plus fragiles. Dès 2019, Icade a atteint ses objectifs, certains avec 3 ans d’avance. Au niveau de la foncière tertiaire, 100 % des parcs d’affaires sont en biodiversité positive dès 2019, au lieu de 50 % en 2022 ; et 100 % des parcs d’affaires disposant d’espaces verts labélisés ÉcoJardin dès 2017. Concernant la foncière santé, 100 % des surfaces aménagées dans le cadre du développement de nouvelles opérations ont fait l’objet de la restauration d’une surface équivalente dans le cadre de Nature 2050. Enfin, du côté d’Icade Promotion, 36 % des nouvelles constructions sont en biodiversité positive (au lieu de 25 % en 2020). Avec le concours d’Egis et de CDC Biodiversité, Icade a établi un plan d’actions (engagement dans le programme Nature 2050, protection de la biodiversité dès la conception des bâtiments, intégration de labels et de certifications de biodiversité dans les nouveaux projets, investissement dans des partenariats, y compris R&D, en faveur de la biodiversité, contrat de performance biodiversité). « Ces bons résultats confirment que l’engagement d’Icade en faveur de la biodiversité est une démarche de long terme, qui s’inscrit dans sa stratégie RSE et dans sa raison d’être, précise Olivier Wigniolle, directeur général d’Icade. Nous œuvrons par ailleurs à la création d’un indicateur d’impact sur la biodiversité positive avec le Club B4B+ et sommes impliqués dans la démarche Act4Nature depuis 2018. »
Lancement de WiredScore Smart Council, cercle de réflexion du bâtiment intelligent
WiredScore, le système international d’évaluation de la connectivité des immeubles, fait appel à des propriétaires et locataires pour créer le WiredScore Smart Council, cercle de réflexion dédié au bâtiment intelligent. Il a pour but de fournir une « définition claire » et un cadre pour évaluer ce qui caractérise le bâtiment intelligent. Il est composé de propriétaires, grands occupants, promoteurs, investisseurs et autres entreprises internationales (dont Allianz Real Estate, Allied Properties REIT, Art- Invest Real Estate, AXA Investment Managers, British Land, Commerz Real, Deliveroo, Derwent London, EDGE, Fifth Wall, Gecina, Great Portland Estates, Hines, KingSett Capital, KPMG, Legal & General, Nuveen Real Estate, Patrizia AG, PGIM Real Estate, Rudin Management Company, U+I). En établissant un partenariat avec ces acteurs, WiredScore mettra au point un label qui évaluera les facteurs permettant l’optimisation des coûts de fonctionnement, la prévention de l’obsolescence. Le WiredScore Smart Council travaillera en collaboration avec WiredScore pour définir les exigences précises auxquelles les bâtiments doivent répondre pour être labellisés « Smart ». « Jusqu’à présent, les réflexions autour des bâtiments intelligents ont été largement dominées par les fabricants des solutions technologiques, explique William Newton, président de WiredScore. Chez WiredScore, nous sommes convaincus que les propriétaires et les locataires, étant ceux qui construisent et utilisent les espaces, sont les mieux placés pour définir ce qui caractérise un bâtiment intelligent. Nous le savons, le futur est intelligent, et nous sommes ravis de travailler avec ces organisations à la pointe de l’innovation pour élaborer une définition internationale du terme « intelligent » et pour développer notre nouveau label. »
Marie-Célie Guillaume quitte la direction générale de Paris La Défense
(©D.R.)
Le conseil d’administration de Paris La Défense a approuvé la décision du président Georges Siffredi et de la directrice générale Marie-Célie Guillaume de mettre fin, « d’un commun accord », à leur collaboration. « Je souhaite donner une nouvelle impulsion au développement de La Défense, en m’appuyant sur un regard neuf, explique Georges Siffredi. Je veux saluer le travail important réalisé par Marie-Célie Guillaume, en particulier la mise sur pied du nouvel établissement local Paris La Défense, fruit d’une fusion difficile entre les deux établissements Defacto et Epadesa. Pendant ces sept années, elle a engagé une profonde transformation du quartier d’affaires, incarnée par l’ouverture de nouveaux lieux (Oxygen, Table Square), une politique évènementielle et culturelle ambitieuse (Garden Parvis, Urban Week, Les Extatiques, Paris La Défense Arena …), la rénovation des infrastructures et espaces publics vieillissants du quartier, la végétalisation progressive de l’Esplanade, le développement des mobilités douces et particulièrement du vélo... Cette transformation ambitieuse s’est accompagnée d’une augmentation significative des ressources propres de l’établissement public, afin de construire un modèle de développement économique pérenne. Ainsi, le taux de vacance des bureaux est passé de 13% à moins de 4%. » Marie-Célie Guillaume ajoute : « Après ces sept années si riches, où j’ai mis ma passion et mon énergie au service de ce territoire hors du commun, dans une relation de parfaite confiance avec mon président Patrick Devedjian, il est l’heure pour moi de tourner la page. Je quitte Paris La Défense fière du travail accompli, en remerciant les élus de leur confiance, les services de l’Etat de leur coopération, et surtout en souhaitant à mes formidables équipes de garder toujours cet enthousiasme, cette fierté et cette exigence d’excellence qui les animent au quotidien.»
Patrick Ollier finalement réélu à la tête de la MGP
(©D.R.)
Nouveau coup de théâtre à la Métropole du Grand Paris. Alors que Patrick Ollier avait perdu mardi la primaire organisée au sein du groupe LR, qui lui a préféré Vincent Jeanbrun, et ne s’était donc pas présenté, il a finalement été réélu à la présidence de la MGP. A la suite de longues négociations et de plusieurs retournements de situation, l’actuel président est apparu comme la seule solution de repli, étant également soutenu par l’opposition. Seul candidat, il a ainsi obtenu 133 voix sur 137 au second tour de scrutin et repart pour un nouveau mandat de six ans.
Le port de Marseille Fos maintient 57 M€ d’investissements
En croissance constante depuis 2013, le port de Marseille Fos a réalisé en 2019 un chiffre d’affaires de 169,5 M€ et enregistré un trafic total de 79 millions de tonnes. L’organisme entend soutenir l’économie portuaire, malgré la situation mondiale de pandémie exceptionnelle au premier semestre 2020 qui a freiné son activité avec une baisse de trafic global de 15 %. Pour favoriser cette relance, le conseil de surveillance du port de Marseille Fos a décidé de maintenir autant que possible les investissements pour 2020 et d’accompagner ses clients affectés par la crise sanitaire mondiale. Ce sont ainsi 57 M€ d’investissements qui ont été préservés et plus de 6,5 M€ de mesures commerciales, qui ont été prises.
Suez et Vauban Infrastructure Partners créent une JV pour financer des projets dans l’eau et les déchets
Suez et Vauban Infrastructure Partners (affilié de Natixis Investment Managers) s’associent pour créer Suez Investissement Local, nouvel acteur français dédié au financement de projets dans le secteur de l’eau et des déchets. La société commune ambitionne de financer 500 M€ de projets d’ici 2025. Suez Investissement Local sera l’actionnaire principal de sociétés concessionnaires portant les projets, « et offrira aux clients les meilleures conditions de financement possibles via, notamment, la mise en place de financements de projet ». Dans le cadre de ce partenariat de long terme, Suez portera les responsabilités industrielles des opérations de construction et d’exploitation des infrastructures. Vauban Infrastructure Partners apportera son expertise en matière de financement d’infrastructures et investira à long terme dans ces projets, en fonds propres, par l’intermédiaire de ses fonds d’investissement.
Ardian Infrastructure signe un financement de 20 ans pour le parc éolien d'Åndberg
Ardian a signé un financement d’une durée de 20 ans pour son parc éolien « Åndberg » de 286 MW en Suède. Le financement est assuré par la KfW IPEX-Bank, qui est responsable du financement de projet et du financement export au sein du groupe KfW. Le financement à long terme a été garanti par un accord d'achat d’électricité verte de 10 ans avec Skellefteå Kraft, conclu en octobre 2019. « Le financement permet à Ardian et eNordic d'optimiser et de sécuriser davantage de rendements pour le parc éolien », précise le communiqué de presse. Ardian Infrastructure a racheté le parc éolien d'Åndberg à OX2 en février 2019 dans le cadre de sa plateforme nordique d'investissement dans l'énergie durable, eNordic. Opérationnel en 2021, Åndberg fournira chaque année plus de 800 GWh d'électricité.
Fin de l’appel à projet « Energie CSR » : l’ADEME retient 6 projets
Lancé en septembre 2019, dans le cadre du fonds économie circulaire, cet appel à projets a pour objectif de poursuivre le développement d’unités permettant la valorisation de 1,5 million de tonnes de combustibles solides de récupération (CSR) par an d’ici 2025. Sur les 14 dossiers déposés, l’ADEME a retenu 6 projets : ceux de Solveo (Grand Est), CSR@La Madeleine (Grand Est), Val’energy (Auvergne Rhône Alpes), Condat (Nouvelle Aquitaine), CSR-sigidurs-19 (Ile de France) et de la chaufferie BASF (Occitanie). Les projets soutenus représentent une puissance installée de 340MW PCI, une production totale de 2,3 TWh/an et des quantités de CSR valorisés de 672 000 tonnes /an. Cinq autres projets restent sur liste d’attente et pourraient être lauréats d’ici fin 2020.
L’autorité environnementale dubitative sur le terminal 4 de CDG
(©ADP)
Alors que l’aéroport de Roissy Charles-de-Gaulle devrait atteindre sa capacité maximum à l’horizon 2024 selon Aéroport de Paris, l’exploitant prévoit d’augmenter sa capacité d’accueil, notamment grâce à la construction d’un quatrième terminal. L’Autorité environnementale (AE) a rendu un premier avis sur cette extension. Elle constate que la mobilisation de l’État et d’ADP pour diminuer les risques sanitaires et se mettre en cohérence avec les engagements relatifs au climat « n’est pas proportionnée à leur volonté de capter les retombées économiques d’une extension de l’activité aéroportuaire ». Elle note également que « l’équation à résoudre entre l’augmentation du nombre des passagers, des mouvements d’aéronefs, de la circulation routière et donc des risques sanitaires et des émissions de gaz à effet de serre associés, et le respect des objectifs nationaux et internationaux de la France en la matière n’est pas décrite ni posée de manière complète par le dossier ».
L’EPR étrillé par la Cour des comptes
(©EDF)
La Cour des comptes a rendu son bilan concernant les causes des dérives budgétaires du chantier de l’EPR de Flamanville dont le coût de construction a été multiplié par 3,3, estimé par EDF à 12,4 Mds€ et par au moins 3,5 du délai de mise en service par rapport aux prévisions initiales. Cette « dérive considérable » résulte, selon l’institution, « d’estimations de départ irréalistes, d’une mauvaise organisation de la réalisation du projet par EDF, d’un manque de vigilance des autorités de tutelle et d’une méconnaissance de la perte de compétence technique des industriels de la filière ». En outre, il est également constaté que l’ex-Areva NP et les autres fournisseurs d’EDF « n’ont souvent pas réussi à atteindre le degré d’exigence technique imposé par EDF », tandis que la rivalité entre EDF et Areva, non arbitrée par les pouvoirs publics, est également pointée du doigt. De plus, des coûts complémentaires au coût de construction pourraient atteindre près de 6,7 Mds€ à la mise en service du réacteur, prévue en 2023. Concernant l’avenir de la filière, alors que la construction de trois paires de réacteurs EPR est à l’étude, la Cour invite à « tirer les enseignements des difficultés rencontrées et à élargir l’horizon des documents actuels de programmation énergétique ».
La Fondation Groupe EDF lance son fonds de solidarité Covid-19
La Fondation Groupe EDF lance, cet été, son fonds de solidarité, doté d’1 M€, pour encourager la relance de l’activité sur les territoires en France et à l’international. La Fondation groupe EDF a défini deux priorités : « pallier les fragilités accentuées par la crise, tout en favorisant le retour à l’emploi ». En France, il s’agira notamment de soutenir la mise en place de circuits courts, d’inciter à des productions locales favorisant l’emploi de proximité et l’insertion professionnelle ou encore d’encourager des initiatives d’économie circulaire. A l’international, l’effort portera sur le renforcement des moyens d’existence et d’autonomie alimentaire par exemple par la diversification des cultures, le pompage pour irrigation et les dispositifs de conservation des aliments. Le fonds de solidarité fonctionnera du 10 juillet au 31 octobre 2020.
Par François Perrigault (@fperrigault), Boris Beltran (@bobobeltran) et Thomas Gutperle