La veille immo du 27 septembre 2019
L’Université Paris-Est Créteil loue 4 000 m² à Moissy-Cramayel
Le groupe Etche a loué un bâtiment de 4 000 m² situé à Moissy Cramayel à l’Université Paris-Est Créteil dans le cadre d’un bail de neuf années fermes. Une adaptation des locaux est en cours de réalisation par la société Gefec.
Premier closing à 90 M€ pour l’OPCI Génération 3 d’A Plus Finance
A Plus Finance a annoncé le premier closing du fonds Génération 3 à 90M€. Les engagements apportés à ce troisième millésime de l’OPCI lancée il y a à peine 4 mois émanent d’investisseurs institutionnels historiques mais aussi de nouveaux entrants. Avec un objectif final de 250 millions d’euros, l’équipe de gestion souhaite continuer dans sa stratégie de développement de résidences service seniors non médicalisées en France et en zone Euro. « Ce premier closing nous donne la capacité de réaliser une part importante des investissements identifiés, dont la majeure partie a déjà fait l’objet de signature de contrat de réservation en prévision du closing », explique Christophe Peyre, directeur associé en charge de l’Immobilier chez A Plus Finance. La société gère désormais un portefeuille de plus de 400 M€ en résidences services seniors, au travers de véhicules dédiés tant aux institutionnels qu’aux particuliers. Cette activité représente aujourd’hui plus de 1 800 logements et espaces de services dédiés aux séniors autonomes mais fragiles.
Axel Springer finalise l'acquisition de MeilleursAgents
Axel Springer via sa filiale AVIV, a finalisé l’acquisition de 100 % du capital de MeilleursAgents. Avec cette opération, le groupe entend « étendre ses compétences data et apporter plus de transparence aux marchés immobiliers ». En France, le groupe ambitionne de renforcer les offres à destination des agents immobiliers pour l’acquisition de nouveaux mandats, et enrichir la gamme de services proposés par SeLoger et Logic-Immo (également propriété d’Axel Springer).
Les mises en chantier reculent de 4 % à fin août en France
Sur un an, de septembre 2018 à août 2019, le nombre de logements autorisés à la construction (443 500 unités) baisse (-5,7 %) par rapport aux douze mois précédents. Tous les types de logement diminuent : le collectif (-8,4 %), le logement en résidence (-6,9 %), l’individuel pur (-2,4 %) et l’individuel groupé (-0,4 %). Sur la même période, les mises en chantier de logements diminuent (- 3,8 %) par rapport aux douze mois précédents avec 411 200 unités. Hormis les logements individuels groupés qui progressent (+0,4 %), les autres types de logement reculent : les logements en résidence (-7,2 %), l’individuel pur (-5,6 %) et le collectif (-3,2 %).
La FFB monte au créneau contre le projet de loi de finances 2020
Le projet de loi de finances (PLF) pour 2020 dévoilé par le gouvernement a provoqué la colère de la Fédération française du bâtiment (FFB). « Outre les mauvaises nouvelles concernant la complexité et la baisse des aides lors de la transformation du CITE en prime, il confirme la suppression du PTZ neuf hors grandes agglomérations, détaille le communiqué de presse. La fracture territoriale s’en trouvera accentuée et le mitage du territoire, accéléré ». Par ailleurs, les artisans et entrepreneurs du bâtiment subiront une double peine dans leur cycle d’exploitation selon la FFB avec la suppression de l’accès au gasoil non routier (GNR) et le rabotage de la déduction forfaitaire spécifique (DFS). « Après la mise en place de l’IFI, la suppression de l’APL accession, le rabotage du PTZ neuf en zones B2 et C et l’élagage du Pinel en B2 intervenus en 2018, puis le tour de vis sur le CITE de 2019, ce troisième budget consécutif à la baisse pour la construction menace l’un des seuls secteurs qui tire la croissance en France, tacle Jacques Chanut, président de la FFB. Veut-on casser l’outil ? En effet, ce PLF est néfaste à l’activité et à l’emploi dans le bâtiment mais rappelons que ce sont les députés et sénateurs qui ont la responsabilité du vote de la loi. Nous demandons à nos fédérations départementales, à nos artisans et entrepreneurs, d’aller au contact de leurs parlementaires pour leur proposer les indispensables mesures correctives pour sauvegarder l’emploi sur l’ensemble du territoire national. »