Sur les affiches électorales des législatives une tendance se développe : faire figurer un chef national au détriment du vrai candidat. Justine Gruet, députée LR du Jura, a déposé une proposition de loi pour changer la donne.
Le temps d’un été, comme dans les récits contés par Stefan Zweig dans Le monde d’hier lorsqu’il évoque la légèreté de la société autrichienne du XIXème siècle, les Français auront repris goût à aimer leur pays et à le faire aimer.
Pour rompre définitivement avec les accusations d’antisémitisme, le parti de Marine Le Pen et Jordan Bardella a cherché à investir dans des circonscriptions gagnables des candidats considérés comme juifs. Tous ont refusé. Bien leur en a pris vu la tournure de la campagne…
Et si Valérie Pécresse avait réussi son meeting au Zénith ? Et si Jordan Bardella avait viré à gauche lors de son adolescence ? Et si Gabriel Attal n’était pas parvenu à percer en politique ? Et si Laurent Wauquiez avait rallié la Macronie en 2017 ? Ces scénarios, sur le papier pas impossible, auraient changé la face de la politique française. Plongez dans ce dossier uchronique…
Et si Jean-Luc Mélenchon était resté fidèle à la ligne souverainiste-laïque de ses débuts ? La France insoumise serait totalement différente de ce qu’elle est actuellement. Mais une chose n’aurait pas changé : la toute-puissance d’un homme ne rechignant pas à purger l’appareil.
Véritable phénomène politique et médiatique, Juan Branco a connu une ascension fulgurante grâce au macronisme. Plus jeune premier ministre de l’histoire, il subit les foudres du médiatique essayiste et activiste Gabriel Attal. Récit d’une haine qui dure depuis l’adolescence.