« Dès 1908, Winston Churchill achetait des millésimes de la maison Pol Roger. »
Une question à Laurent d’Harcourt, président du directoire de la maison Pol Roger
Décideurs. Le Royaume-Uni constitue votre premier marché. Y a-t-il une spécificité anglaise ?
Laurent d’Harcourt. C’est le premier marché que notre fondateur Pol Roger a exploré, suivi par ses deux fils Maurice et Georges. Dès 1908, Winston Churchill, achetait des millésimes de la maison. Il est resté fidèle à la maison et a même célébré la fin de la seconde guerre mondiale avec le millésime 1928. À sa mort, les étiquettes des bouteilles expédiées en Angleterre ont revêtu un liseré noir. Et le 6 juin 1984, quarante après le débarquement, une cuvée spéciale du millésime 1975 portant son nom a été lancée par la maison Pol Roger.
Quel que soit le pays où l’on l’expédie, le produit est le même. Ce n’est donc pas une question de goût, mais une question d’habitude de consommation. Néanmoins, on parle parfois de « goût anglais », pour des vins un peu plus évolués, qui ont bénéficié de davantage de temps de repos après dégorgement.
Laurent d’Harcourt. C’est le premier marché que notre fondateur Pol Roger a exploré, suivi par ses deux fils Maurice et Georges. Dès 1908, Winston Churchill, achetait des millésimes de la maison. Il est resté fidèle à la maison et a même célébré la fin de la seconde guerre mondiale avec le millésime 1928. À sa mort, les étiquettes des bouteilles expédiées en Angleterre ont revêtu un liseré noir. Et le 6 juin 1984, quarante après le débarquement, une cuvée spéciale du millésime 1975 portant son nom a été lancée par la maison Pol Roger.
Quel que soit le pays où l’on l’expédie, le produit est le même. Ce n’est donc pas une question de goût, mais une question d’habitude de consommation. Néanmoins, on parle parfois de « goût anglais », pour des vins un peu plus évolués, qui ont bénéficié de davantage de temps de repos après dégorgement.