Dans une économie mondialisée, le coût du capital1 pour un investisseur n’est rien d’autre que le rendement qu’il peut attendre de la croissance moyenne des marchés boursiers – elle-même identique sur longue période à la croissance de l’économie mondiale – plus les distributions de dividendes. Jean Estin, Président du cabinet international de conseil en stratégie Estin & Co, livre son regard sur la croissance de demain.