Les deux tiers de ce montant ont été récoltés auprès du fonds français Partech Ventures.
C’est le premier investissement du véhicule Partech Growth qui avait réalisé, début 2015, un closing de 200 millions d’euros. L’opérateur mobile virtuel FreedomPop fournit un service de téléphonie innovant sur un modèle freemium. L'abonnement de base (deux heures de communication, 500 SMS et 500 Mo de données) est gratuit mais il faut payer pour toutes les options supplémentaires. Stephen Stokols, le fondateur de la société, définit ainsi FreedomPop comme « le Ryanair des télécoms ». Aux États-Unis, la compagnie californienne a déjà séduit un million d’utilisateurs. L’entrée du fonds Partech Ventures au capital lui permettra de se développer en Europe, excepté… en France. La présence de Free et de ses abonnements gratuits pour les détenteurs de la Freebox lui barre en effet la route. En attendant, FreedomPop a annoncé le lancement pour cet été du premier service de téléphonie mobile gratuit au Royaume-Uni.

V.P.

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