Olivier Sergent, P-DG de Mecatherm, société leader en équipements de boulangerie industrielle nous parle de son implantation en Afrique et des problématiques liées à l’agrobusiness sur le continent.
Olivier Sergent (Mecatherm) : « Il y a autant de situations que de pays en Afrique ! »
Décideurs. Comment vous adaptez-vous au marché africain ?
Olivier Sergent. Il y a autant de situations que de pays en Afrique ! Dans notre industrie, nous pouvons réellement faire une distinction entre les pays francophones, lusophones, hispanophones, qui préfèrent les pains croustillants et les pays anglophones, plus attachés aux pains de mie. Mais la consommation de pain augmente partout en Afrique. Avec l’urbanisation grandissante et le développement d’une classe moyenne, la consommation augmente très rapidement, et le seul développement des artisans ne suffit plus. Nous pilotons des projets globaux, avec un accompagnement global, dans une approche ‘turn-key’.
Décideurs. Les industries alimentaires devront a priori effectuer des transformations structurelles dans les prochaines décennies, afin de créer des emplois et les ressources alimentaires nécessaires aux besoins de la population. Quel regard portez-vous sur le secteur agroalimentaire africain actuel ?
O. S. Les problématiques sont communes à tout l’agrobusiness en Afrique. Le transport, et plus généralement la logistique, ainsi que le circuit de distribution sont les difficultés à résoudre dans le secteur. Afin d’augmenter l’efficacité du secteur agroalimentaire en Afrique, il est nécessaire d’avoir de bons circuits de distribution ainsi que des réseaux efficaces, avec des solutions adaptées au continent. Bien sûr, la question des terres arables reste également cruciale.
E.S.
Olivier Sergent. Il y a autant de situations que de pays en Afrique ! Dans notre industrie, nous pouvons réellement faire une distinction entre les pays francophones, lusophones, hispanophones, qui préfèrent les pains croustillants et les pays anglophones, plus attachés aux pains de mie. Mais la consommation de pain augmente partout en Afrique. Avec l’urbanisation grandissante et le développement d’une classe moyenne, la consommation augmente très rapidement, et le seul développement des artisans ne suffit plus. Nous pilotons des projets globaux, avec un accompagnement global, dans une approche ‘turn-key’.
Décideurs. Les industries alimentaires devront a priori effectuer des transformations structurelles dans les prochaines décennies, afin de créer des emplois et les ressources alimentaires nécessaires aux besoins de la population. Quel regard portez-vous sur le secteur agroalimentaire africain actuel ?
O. S. Les problématiques sont communes à tout l’agrobusiness en Afrique. Le transport, et plus généralement la logistique, ainsi que le circuit de distribution sont les difficultés à résoudre dans le secteur. Afin d’augmenter l’efficacité du secteur agroalimentaire en Afrique, il est nécessaire d’avoir de bons circuits de distribution ainsi que des réseaux efficaces, avec des solutions adaptées au continent. Bien sûr, la question des terres arables reste également cruciale.
E.S.
