Benjamin Grundler, associé, Visconti Grundler
Le pénaliste a été à bonne école. Benjamin Grundler apprend le métier aux côtés d’Olivier Metzner : «Il faisait preuve d’une extrême rigueur. Il me répétait souvent que nous faisons un métier où il ne faut jamais considérer les choses comme acquises.» Cinq plus tard, il prend son envol et crée son propre cabinet. Et en mars dernier, devant le Conseil constitutionnel, il obtient gain de cause dans l’affaire EADS : le cumul des poursuites disciplinaires et pénales des abus de marché est invalidé. Une décision historique. La clé de la réussite pour ce karatéka ? Un «équilibre primordial» entre vie professionnelle et vie privée.