Le cabinet français crée le statut de counsel et nomme vingt-trois avocats à ce rang.
CMS BFL adopte le statut de counsel
L’assemblée plénière des associés du cabinet CMS Bureau Francis Lefebvre vient d’élire au rang de counsels vingt-trois avocats à compter d’avril. Ils sont neuf en droit fiscal (Paul Bayle, Chantal Bouquet, Maryline Danis-Dray, Marie-Odile Duparc, Emmanuelle Féna-Lagueny, Yann Leclerc, Sylvie Le Tanneur, André Loup et Agnès Rivière-Durieux), cinq en droit des sociétés et M&A (Martine Audran, Laurent Cesbron, François de Gabrielli, Chantal Jordan, Geneviève Olivier et Benoît Provost), deux en droit social (Christophe Plagniol et Carole Rometti), deux en droit commercial et immobilier (Brigitte Gauclère et Francine Van Doorne-Isnel), Daniel Carton en restructuring, Mélanie Comert en droit de la concurrence, Élisabeth Flaicher-Maneval en doctrine juridique et Sylvie Lerond en droit patrimonial. La création de ce statut répond à la volonté du cabinet de reconnaître les compétences de ces avocats et de mettre en valeur leur contribution au service des clients. Le statut de counsel serait donc un tremplin vers l’association.
C’est dans cette optique que la plupart des cabinets d’avocats d’affaires intègrent le statut de counsel dans leurs équipes, entre celui de collaborateur et celui d’associé. Les dénominations varient entre « counsel », « of counsel » ou « consultant » mais recoupent la même réalité. Certains cabinets réservent cependant ce statut à leurs avocats universitaires ou issus du monde politique qui n’ont pas vocation à briguer l’association. Ils apportent alors à l’équipe leur réseau et leur renommée, à l’image de Laurent Aynès qui a rejoint Darrois au début de l’année.
C’est dans cette optique que la plupart des cabinets d’avocats d’affaires intègrent le statut de counsel dans leurs équipes, entre celui de collaborateur et celui d’associé. Les dénominations varient entre « counsel », « of counsel » ou « consultant » mais recoupent la même réalité. Certains cabinets réservent cependant ce statut à leurs avocats universitaires ou issus du monde politique qui n’ont pas vocation à briguer l’association. Ils apportent alors à l’équipe leur réseau et leur renommée, à l’image de Laurent Aynès qui a rejoint Darrois au début de l’année.