«?Multiplier nos interventions dans les pays de l’Est?»
Entretien avec Benoît Hertfelder, directeur régional, Fidal
Décideurs. Vous êtes directeur de la région Champagne Alsace-Lorraine. Quel est votre rôle ?
Benoît Hertfelder. Notre rôle est multifacette, à l’image d’un chef d’orchestre. Tout en conservant un pied dans les dossiers, nous sommes une émanation du directoire en région. Nous amenons les individualités à travailler en équipe, à partager leurs compétences et leur savoir-faire pour faire appel à la bonne personne et répondre à la demande des clients. Fidal propose une palette très large de prestations, et au sein d’une même spécialité, la technicité ne cesse d’augmenter.
Décideurs. Votre région compte 180 personnes, dont 105 avocats dans dix bureaux. Comment parvenez-vous à identifier ces compétences ?
B.?H. Nous travaillons sans cesse en lien avec la direction technique qui optimise la fluidité des échanges et favorise la proximité de nos équipes en nous aidant à localiser les compétences dans les 90 bureaux dans lesquels le cabinet est implanté. Ainsi, lorsque nous identifions une spécialité nécessaire pour répondre aux demandes de notre marché, nous pouvons facilement constituer des équipes transversales. Et si le besoin de nos clients se fait sentir sur le long terme, alors nous recrutons. Nous avons par exemple eu recours aux compétences du bureau lyonnais en matière de vérifications comptables des données informatiques de sociétés. Aujourd’hui, du fait de la demande, nous nous apprêtons à recruter un spécialiste dans notre région. Le même processus s’est déroulé en matière de douanes.
Décideurs. Quelle est la part d’activité de votre région à l’international ?
B.?H. En raison de son positionnement géographique, la région Champagne-Alsace-Lorraine travaille beaucoup avec l’étranger. Nous avons une forte clientèle allemande, bien sûr, mais aussi plus largement européenne, voire mondiale. Nous avons développé un réseau de best friends et nous nous appuyons beaucoup sur nos différents desks internationaux. Le défi actuel est de multiplier nos interventions dans les pays de l’Est, mais aussi de suivre nos clients partout où se porte leur activité. Pour ma part, j’ai développé une clientèle majoritairement internationale et je fais partie du comité dédié.
Je suis convaincu que l’avenir de Fidal se joue principalement en dehors de nos frontières.
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Benoît Hertfelder. Notre rôle est multifacette, à l’image d’un chef d’orchestre. Tout en conservant un pied dans les dossiers, nous sommes une émanation du directoire en région. Nous amenons les individualités à travailler en équipe, à partager leurs compétences et leur savoir-faire pour faire appel à la bonne personne et répondre à la demande des clients. Fidal propose une palette très large de prestations, et au sein d’une même spécialité, la technicité ne cesse d’augmenter.
Décideurs. Votre région compte 180 personnes, dont 105 avocats dans dix bureaux. Comment parvenez-vous à identifier ces compétences ?
B.?H. Nous travaillons sans cesse en lien avec la direction technique qui optimise la fluidité des échanges et favorise la proximité de nos équipes en nous aidant à localiser les compétences dans les 90 bureaux dans lesquels le cabinet est implanté. Ainsi, lorsque nous identifions une spécialité nécessaire pour répondre aux demandes de notre marché, nous pouvons facilement constituer des équipes transversales. Et si le besoin de nos clients se fait sentir sur le long terme, alors nous recrutons. Nous avons par exemple eu recours aux compétences du bureau lyonnais en matière de vérifications comptables des données informatiques de sociétés. Aujourd’hui, du fait de la demande, nous nous apprêtons à recruter un spécialiste dans notre région. Le même processus s’est déroulé en matière de douanes.
Décideurs. Quelle est la part d’activité de votre région à l’international ?
B.?H. En raison de son positionnement géographique, la région Champagne-Alsace-Lorraine travaille beaucoup avec l’étranger. Nous avons une forte clientèle allemande, bien sûr, mais aussi plus largement européenne, voire mondiale. Nous avons développé un réseau de best friends et nous nous appuyons beaucoup sur nos différents desks internationaux. Le défi actuel est de multiplier nos interventions dans les pays de l’Est, mais aussi de suivre nos clients partout où se porte leur activité. Pour ma part, j’ai développé une clientèle majoritairement internationale et je fais partie du comité dédié.
Je suis convaincu que l’avenir de Fidal se joue principalement en dehors de nos frontières.
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