Quelques réflexions sur le cas Doliprane
L’annonce par Sanofi de la cession de 50% du capital de sa filiale Opella, qui commercialise le Doliprane, au fonds d’investissement américain Clayton Dubilier & Rice, a déclenché une vague de réactions, y compris au sommet de l’État. Le débat n’est pas nouveau : comment allier l’attractivité de la France pour les investissements étrangers avec la protection de notre souveraineté nationale ? Renée Kaddouch, docteur en droit et associée chez Squair esquisse des réponses à cette question épineuse.