Les applications de traçage numérique qui ont vu le jour dans divers pays européens avec la pandémie de Covid-19 ont pour objectif d’aider à l’identification des cas contacts d’une personne contaminée. Au-delà des questions éthiques et juridiques posées par ces applications, le recours à la technologie pour freiner la pandémie a mis en évidence les problématiques posées par l’utilisation de technologies non européennes dans le domaine de la santé.
En matière de contrefaçon de brevet, le Code de la propriété intellectuelle autorise le juge à indemniser le titulaire du brevet sur la base d’un montant de redevance supérieur au montant qui aurait été dû si le contrefacteur avait obtenu une autorisation d’exploitation licite.
Depuis quelques années, l’intelligence artificielle a fait un bon avec le déploiement massif des réseaux de neurones multicouches dans un large spectre d’applications industrielles. Sylvain Chaffraix, Ingénieur en informatique logicielle et responsable de l’activité NTIC de Novagraaf en France s’est intéressé dès les années 90 à l’intelligence artificielle et aux réseaux de neurones encore balbutiants, avant de mettre ses connaissances au service de la propriété industrielle.
Décideurs s’est entretenu avec Frédéric Mazzella, fondateur et président de BlaBlaCar. L’occasion pour lui de revenir sur ses débuts d’entrepreneur, son rôle de manager et les valeurs d’un groupe plébiscité par 90 millions d’utilisateurs. Une interview inspirante !
Les défis qu’impose à nos sociétés la pandémie de Covid-19 les obligent à se livrer à une course aux solutions, pour surmonter la crise sanitaire, mais également déjouer un effondrement de nos économies. D’où peut alors venir le salut pour envisager un monde différent ? Comment se financent les entreprises qui s’y emploient ?
Microsoft a bien failli se faire bousculer par plus agile. Comment le géant de Redmond est-il parvenu à inverser la tendance ? La réponse tient en deux mots : growth mindset. Zoom sur cette dynamique de l’apprentissage insufflée par le CEO, Satya Nadella.
Face à la Chine ou aux États-Unis, le leadership européen semble à la peine en matière de technologies de rupture. Et si tout n’était qu’une question de méthode ? C’est en tout cas ce que croit savoir André Loesekrug-Pietri, le directeur exécutif de la Joint European Disruptive Initiative (JEDI).