Après avoir pris acte, non sans mal, du caractère pérenne du télétravail, les acteurs investis sur le segment des bureaux ont introduit la notion de "services", seule promesse en mesure de faire revenir des salariés ivres de flexibilité sur leur lieu de travail. Suffisant ?

Il n’est plus rare d’assister, désormais que la crise sanitaire est derrière nous, à un rappel des troupes de certains dirigeants, pour des raisons parfois farfelues. Productivité, sens du collectif, sérendipité… Tous les arguments sont bons, du moment qu’ils ne sont pas quantifiés. Alors où en est-on du télétravail ?